Quelles sont les principales missions du / de la baby-sitter ?
Contrairement au métier de garde d’enfants à domicile qui s’inscrit dans la durée, le baby-sitting est un service ponctuel destiné aux parents soucieux de laisser leur enfant en toute sécurité le temps d’une soirée, d’une journée ou d’un week-end.
En l’absence des parents, le ou la baby-sitter devient le référent des enfants qui sont sous sa garde et sa responsabilité. Il ou elle s’occupe aussi bien des nouveau-nés que des bébés, des jeunes enfants et des jeunes adolescents, ainsi que des enfants atteints de handicap ou souffrant de maladie.
En fonction des consignes des parents, de l’âge des enfants et de leur état de santé mais aussi des plages horaires de garde, les missions du baby-sitter peuvent être différentes.
En l’absence des parents, le ou la baby-sitter devient le référent des enfants qui sont sous sa garde et sa responsabilité. Il ou elle s’occupe aussi bien des nouveau-nés que des bébés, des jeunes enfants et des jeunes adolescents, ainsi que des enfants atteints de handicap ou souffrant de maladie.
En fonction des consignes des parents, de l’âge des enfants et de leur état de santé mais aussi des plages horaires de garde, les missions du baby-sitter peuvent être différentes.
Quelles sont les tâches principales du / de la baby-sitter ?
Que le baby-sitting s’effectue en pleine journée ou en soirée, les principales tâches à effectuer touchent à la sécurité, à la surveillance et à l’aide comme :
- Faire les soins et la toilette de l’enfant, le changer
- Déposer et ramener l’enfant à l’école ou à la crèche
- Accompagner aux activités périscolaires
- Aider aux devoirs ou les surveiller (avec l’accord des parents)
- Préparer et organiser des activités stimulantes, ludiques et d’éveil adaptées à l’âge de l’enfant (jeux de société, activités manuelles, jeux vidéos, vélo, piscine…)
- Réaliser des exercices éducatifs pour l’enfant atteint de déficience
- Cuisiner les repas et donner à manger à l’enfant
- Préparer et donner le goûter (en suivant les directives nutritionnelles des parents)
- Veiller à la propreté et à la sécurité des lieux empruntés par l’enfant (chambre, salon, cuisine…)
- S’occuper du linge de l’enfant (le laver et le repasser)
- Mettre l’enfant en pyjama avant l’arrivée tardive des parents, lui lire une histoire avant de s’endormir
- Surveiller la sieste et le coucher à rythme régulier
- Aider l’enfant à s’endormir paisiblement en cas de cauchemar
- Savoir agir et réagir en cas de situation d’urgence (chutes, blessures domestiques…)
- Observer le comportement et l’évolution de l’enfant afin d’en informer les parents, les enseignants ou l’équipe médicale via un compte rendu détaillé de fin de journée
Compétences
Quelles sont les compétences et principales qualités demandées pour être baby-sitter ?
Le métier de baby-sitter ne consiste pas à changer les couches, jouer avec les enfants puis regarder la télévision pendant que les petits bouts de choux dorment tranquillement dans leurs chambres. C’est bien plus complexe que ce tableau idyllique.
En effet, en plus d’aimer être en contact avec les enfants, le ou la baby-sitter doit pouvoir s’adapter facilement aux desideratas des parents et aux bambins, tisser une relation de confiance mutuelle avec les enfants comme avec les parents. Après tout, ces derniers confient leur domicile mais surtout, leur précieuse progéniture, l’espace de plusieurs heures, à un(e) parfait(e) inconnu(e). Ainsi, il convient d'être dès le départ, rassurant avec les parents les plus fébriles pour que les prochaines gardes se passent dans les meilleures conditions.
La rigueur, le sérieux, la politesse, la discrétion, la disponibilité, l'enthousiasme et le dynamisme sont des qualités fortement appréciées et recherchées par les familles.
Avec les enfants dont il a la charge, le ou la baby-sitter doit se montrer tolérant, patient, dynamique, pédagogue et créatif. Faire preuve de fermeté et d’une certaine autorité face aux enfants est aussi primordial. Il ou elle doit également se montrer respectueux du cadre de vie ainsi que des principes éducatifs établis par les parents.
Le ou la baby-sitter doit savoir garder son calme et faire preuve de sang-froid face aux situations d’urgence. Maîtriser les compétences comme les gestes de premiers secours et la sécurité domestique, sont essentielles et rassurantes pour les parents. En leur absence, ils savent que leurs enfants ne risquent rien.
Les baby-sitters maîtrisant au moins une langue étrangère sont très demandés par les familles. Par ailleurs, posséder le permis de conduire est un véritable plus.
En effet, en plus d’aimer être en contact avec les enfants, le ou la baby-sitter doit pouvoir s’adapter facilement aux desideratas des parents et aux bambins, tisser une relation de confiance mutuelle avec les enfants comme avec les parents. Après tout, ces derniers confient leur domicile mais surtout, leur précieuse progéniture, l’espace de plusieurs heures, à un(e) parfait(e) inconnu(e). Ainsi, il convient d'être dès le départ, rassurant avec les parents les plus fébriles pour que les prochaines gardes se passent dans les meilleures conditions.
La rigueur, le sérieux, la politesse, la discrétion, la disponibilité, l'enthousiasme et le dynamisme sont des qualités fortement appréciées et recherchées par les familles.
Avec les enfants dont il a la charge, le ou la baby-sitter doit se montrer tolérant, patient, dynamique, pédagogue et créatif. Faire preuve de fermeté et d’une certaine autorité face aux enfants est aussi primordial. Il ou elle doit également se montrer respectueux du cadre de vie ainsi que des principes éducatifs établis par les parents.
Le ou la baby-sitter doit savoir garder son calme et faire preuve de sang-froid face aux situations d’urgence. Maîtriser les compétences comme les gestes de premiers secours et la sécurité domestique, sont essentielles et rassurantes pour les parents. En leur absence, ils savent que leurs enfants ne risquent rien.
Les baby-sitters maîtrisant au moins une langue étrangère sont très demandés par les familles. Par ailleurs, posséder le permis de conduire est un véritable plus.
A partir de quel âge peut-on devenir baby-sitter ?
L’âge minimum légal pour être baby-sitter est de 16 ans quel que soit le type de contrat (CDI, CDD, contrat temporaire). Le mineur doit y être autorisé par son représentant légal (père ou mère par exemple) sauf s’il est émancipé.
Toutefois, il y a des dérogations. Un adolescent de 14 ans peut être baby-sitter à condition de fournir à l’employeur un accord parental écrit. Le jeune ne pourra travailler qu’en périodes de vacances scolaires avec l’accord de l’inspection du travail.
Les enfants âgés de moins de 14 ans ne peuvent pas être baby-sitters.
Toutefois, il y a des dérogations. Un adolescent de 14 ans peut être baby-sitter à condition de fournir à l’employeur un accord parental écrit. Le jeune ne pourra travailler qu’en périodes de vacances scolaires avec l’accord de l’inspection du travail.
Les enfants âgés de moins de 14 ans ne peuvent pas être baby-sitters.
Diplômes & formations
Un(e) baby-sitter doit-il / elle avoir des diplômes ?
Devenir baby-sitter n’exige aucun diplôme ni aucun agrément. Cependant, face à la concurrence (le bouche à oreille ne suffit plus !), la professionnalisation de ce métier (avec les agences spécialisées notamment) et la multiplication de plateformes dédiées, les jeunes n’hésitent plus à suivre une formation comme :
- Le CAP/BEP petite enfance ou carrières sanitaires et sociales
- Le CQP (Certificat de Qualification Professionnelle) Garde d’Enfant
- Le Titre professionnel d’Assistant(e) de Vie aux Familles (ADVF)
- La formation PSC1 (Prévention et secours civiques de niveau 1) permet d’apprendre à réaliser les gestes de premiers secours
- Le BAFA (Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur)
Les parents apprécient aussi ce type de formations.
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Tous public
À distance
24 mois
Les avantages et inconvénients
Les avantages
- Aucun diplôme obligatoire
- Accessibles à toute personne sans condition d’âge
- C’est un tremplin pour celles et ceux qui souhaitent travailler plus tard dans le secteur de la petite enfance
- Rémunération plutôt attractive pour les jeunes
- Flexibilité des horaires
- Participer à l’épanouissement des enfants
- Travailler dans un cadre agréable
Les inconvénients
- Certains parents peuvent se montrer exigeants, tatillons et pointilleux
- Les enfants peuvent être ingérables
- Des horaires décalés en fonction des sorties des parents-employeurs et de leurs activités professionnelles (soir et week-end)
Salaire
à partir de 10€ net de l'heure
Le salaire d’un(e) baby-sitter
En règle générale, le salaire se négocie directement entre l'employeur et son employé.
Le salaire de base d’un(e) baby-sitter est le SMIC horaire. Il tourne souvent aux alentours des 10€ net. Il peut être majoré en fonction de plusieurs facteurs : le nombre d’enfants à garder, les horaires (de jour ou de nuit), les jours fériés, la prise en charge des frais de déplacement, la localisation etc.
Le ou la baby-sitter peut aspirer à gagner plus en travaillant auprès de plusieurs familles.
Les baby-sitters travaillent trop souvent sans être déclarés. C’est un risque pris car en cas d’accident, ils ne sont pas assurés. Par ailleurs, le travail au noir ne permet pas de cotiser pour la retraite. Il est donc conseillé aux baby-sitters de se faire payer avec des Chèques Emplois Services Universels (CESU), d'autant plus que les employeurs bénéficient d’une déduction de 50% sur le montant des impôts.
Le salaire de base d’un(e) baby-sitter est le SMIC horaire. Il tourne souvent aux alentours des 10€ net. Il peut être majoré en fonction de plusieurs facteurs : le nombre d’enfants à garder, les horaires (de jour ou de nuit), les jours fériés, la prise en charge des frais de déplacement, la localisation etc.
Le ou la baby-sitter peut aspirer à gagner plus en travaillant auprès de plusieurs familles.
Les baby-sitters travaillent trop souvent sans être déclarés. C’est un risque pris car en cas d’accident, ils ne sont pas assurés. Par ailleurs, le travail au noir ne permet pas de cotiser pour la retraite. Il est donc conseillé aux baby-sitters de se faire payer avec des Chèques Emplois Services Universels (CESU), d'autant plus que les employeurs bénéficient d’une déduction de 50% sur le montant des impôts.
Un(e) baby-sitter peut-il / elle prétendre à évoluer professionnellement ?
La majorité des baby-sitters sont des jeunes, lycéens ou étudiants. Le baby-sitting est pour eux une source de revenus complémentaires qu’ils font en parallèle d’un autre job d’appoint (employé de restauration, caissier, vendeur, etc.). Souvent, le baby-sitting ne dure qu’un temps, le temps des études en général. Pour d’autres, le métier de baby-sitter est une première expérience enrichissante mais aussi, une porte d’entrée vers les métiers de l’enfance et la petite enfance (ATSEM - Agent Territorial Spécialisé des Écoles Maternelles, EJE - Educateur de Jeunes Enfants, auxiliaire de puériculture, professeur des écoles…).
Qui emploie un(e) baby-sitter ?
Les principaux employeurs des baby-sitters sont les parents. Les agences spécialisées et les plateformes sont également en très forte recherche. Elles proposent, toute l’année, des postes en CDD, CDI mais aussi des missions ponctuelles et régulières, à temps complet ou partiel.
