HelloWork a interrogé des professionnels des Ressources Humaines et du recrutement ainsi que des actifs en recherche de nouvelles opportunités professionnelles sur leurs pratiques et leurs attentes.
Publié le 8 octobre 2021 18:00HelloWork a interrogé des professionnels des Ressources Humaines et du recrutement ainsi que des actifs en recherche de nouvelles opportunités professionnelles sur leurs pratiques et leurs attentes.
Publié le 8 octobre 2021 18:00HelloWork, leader français de l’emploi, du recrutement et de la formation sur internet (qui édite les plateformes RegionsJob, ParisJob, Cadreo) a interrogé des professionnels des Ressources Humaines et du recrutement ainsi que des actifs en recherche de nouvelles opportunités professionnelles sur leurs pratiques et leurs attentes. Le deuxième volet de cette enquête porte sur le salaire. Avec une confirmation : c’est un sujet central à ne surtout pas négliger, crise sanitaire ou pas !
Retrouvez cette enquête sur le site Hellowork.
Voici les principaux résultats de l’enquête :
Alors que le taux de chômage ne cesse de baisser, il est important d'attirer les candidats et le salaire reste un élément incontournable. Selon Hellowork, le salaire est rarement indiqué par les recruteurs dans les offres d’emploi publiées en ligne. Pourtant, la dernière étude menée par HelloWork a montré que les candidats sont freinés quand le salaire n'est pas indiqué. Plus de 90% des candidats comme des recruteurs ont en tête la fourchette de salaire souhaitée pour le poste.
Le salaire proposé pour un poste dépend :
Si le salaire n’est pas clairement affiché sur l’offre d’emploi en ligne, la question de la rémunération attendra un moment plus intimiste pour apparaître. Dans plus de la moitié des cas (55%), le recruteur commencera à en parler dès le premier entretien téléphonique, pour éviter de se lancer dans un entretien approfondi sans savoir si ce sujet pourrait être bloquant.
La négociation sur le salaire est possible pour 90% des recruteurs et 80% des candidats et des recruteurs essayent de se mettre d’accord si la première offre n’est pas satisfaisante.
75% des candidats sont succeptibles de revoir leurs prétentions à la baisse si le poste les intéresse particulièrement (76%).
Les entreprises disposent d’une petite marge de manœuvre quand un profil correspond parfaitement à leur besoin : 89% des recruteurs sont prêts à augmenter le salaire si le candidat dépasse leurs espérances.
Les avantages proposés comme les tickets restaurant, la participation, l'intéressement, RTT peuvent être un argument pour faire baisser les prétentions salariales des candidats. Les avantages pèsent dans la balance pour 71% des candidats.
90% des recruteurs mettent en avant les avantages dans l'offre d'emploi.
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